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2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Vous saurez tout!!!
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Phil
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2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par Phil »

J'espere que je ne me suis pas trompé dans les noms dans le titre ni dans la suite :)
C'est parti pour le compte rendu !


Cette sortie s'est déroulée en 2 étapes :

1) Mini-rando à ski de fond (20min) ou à pieds au départ de Corrençon en Vercors, pour arriver à l'auberge du Clariant.


Nous étions 13 à nous élancer, ou plutot 11, car 2 compagnons n'arrivèrent que par la suite... Etaient présents : Frédérique, Vincent, Lionel, Jean Luc, Thierry, Stéphane, Amandine, Gildas, leurs 2 amis Brestois (Oui-oui dont c'etait l'anniversaire, et sa compagne ........ (trou de memoire ;) ) et moi même. Nous prîmes des départs étalés dans le temps, le temps de s'équiper pour les uns, de chercher du matériel pour les autres, de se rendre compte qu'il n'y en avait pas.... Bref Tout le monde est arrivé à bon port, A PEU PRES en temps et en heure. En considérant que nous avions l'an passé près de 3h de retard, on peut considérer que cette année, nous étions pleinement dans les temps. (quart d'heure français + quart d'heure apnéen)

Au Menu, pour commencer un petit verre de jenesaisquel apéritif. Les experts complèteront le post :D Comme vous pourrez très bientot le voir dans la galerie du site, l'ambiance est au convivial : bougies sur les tables, pas d'électricité, grande tablée... Puis bien vite l'entrée : une salade assaisonée, et complétée de quelques légumes, coppeaux de noix,. . . En ayant pris bien soin de conserver une partie de la salade pour les absents, nous continuons avec la fameuse croute de lard : un feuilleté au fromage, avec du lard dedans. . . Excellent plat qui se marie bien avec l'atmosphere de l'auberge. Ensuite, nous avons chacun le droit à une grosse pomme de terre grillée, que nous pouvons déguster avec une sauce à l'echalotte ma fois fort bonne. C'est pendant cette dégustation qu'arrivent, après avoir courru a travers ville et champs, Aurélie et Philippe. Vincent ayant gardé une place a côté de lui pour sont instructeur préféré (on connait ses ambitions nationales), les 2 convives ont le bonheur de constater qu'on leur avait bien gardé leur part du banquet, malgré les tentations et la petite frustration que nous pûmes ressentir après avoir finit notre (trop) petit carré de soufflé.

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Pendant ce repas bien sur, la discussion tourna en grande partie autour des prochains évènements de l'apnée grenobloise, mais aussi et bien sur sur une foule de choses irrésumable dans un compte rendu. Si ce ne sont les railleries fréquentes, que dis-je perpetuelles, sur la fin du repas, des 7 personnes qui ne poursuivaient pas l'aventure le lendemain. (Thierry apellerait ça une épreuve d'immunité) Le repas s'acheva avec des parts de tarte : Poire, Chocolat, Pomme au choix. Sur l'initiative de Lionel, les parts furent découpées afin que nous puissions tous gouter au moins 2 types de tartes. S'en suivit la consommation du café/Verveine, puis du digestif réclamé par Philippe Pr, qui nous fut au final offert sur la note. Une liqueur de Genepi il me semble. En tant que prude homme, comme Thierry, nous nous limitons à goûter l'elixir, pendant que d'autres font honneur à la bouteille. Une petite goutte sur un sucre pour voir le goût que ça a... Ce fut d'ailleurs l'occasion de subtiliser un sucre au cas ou on devrait se retrouver en détresse dans le fond d'une crevasse sans rien avoir d'autre à manger que l'un de ses camarades gelé ! Mal m'en a pris en fait, car j'ai retrouvé le sucre en miettes et mouillé dans ma poche le lendemain...

Apres le repas, nous avons encore discuté un moment, subit de plus en plus les moqueries et même les menaces des "partants", tentant de nous décourager de poursuivre l'aventure du Vercors. Mais c'était sans compter sur notre persévérance, l'aventure ne faisait que commencer ! ! !

2) La traversée dans le Vercors

Une fois séparés " d'avec " nos compagnons de tablée, nous mîment le cap vers la cabane de Carette. (Frédérique, Thierry, Stéphane, Philippe Pr, Aurélie, moi) Le chemin ne fut pas très long en terme de kilométrage, mais suffisament long en terme temporel pour commencer à juste nous faire nous demander si nous avions eu raison de rester. Obligés de déchausser les skis de fond skating lorsque le chemin devenait trop étroit, le chemin ne fut pas si facile qu'il pourrait y paraitre. Nous franchîmes le 45 ème parallèle matérialisé par un petit monument en forme de globe. Vers 0h00, nous arrivâmes enfin à la cabane de Carette. Il n'y avait personne "génial !" Première tâche, comme à Koh Lanta, faire du fe.... euh non, AVANT-première tâche : vérifier si Internet passe :D OUF ! il n'y a pas de réseau, l'immersion sera bien totale !

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Nous commençons à poser le matériel, allumer des bougies, collecter du bois et en sélectionner le petit... L'entrée de la cabane est EX-TRE-ME-MENT glissante . . . une petit pente de glace inclinée à 40°, avec un dénivelé de 40 cm. Suffisement pour nous faire presque tous choir 1 à 1, Thierry étant le premier. On commence à douter qu'il soit déjà venu ici, car un casse-gueule pareil on s'en souvient ! Bref, alors que les premieres flammes réaniment l'antédéluvient poêle, je me rend compte qu'il fait tellement froid que la "fumée" que l'on expire est assez dense pour faire des ronds de fumée... Ben oui on s'occupe comme on peut hein :D . Apres avoir veillé sur l'alimentation du feu, on commence à avoir un espoir de ne pas mourir de froid, tant le poele "tire", et tant son contact est brûlant.

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Ensuite, vers 1h00, tout le monde installe sa petite couche à l'étage, sous le toit. Thierry en bon randonneur pro sort son duvet -20° en plumes de colibri, avec juste une petite ouverture pour le recyclage de l'air usagé. On dirait un sarcophage avec protection CBRN (Chimique, Bacteriologique, Radiations, Nucléraire). En tout cas ça a l'air chaud. En sortant mon duvet Tout stocks d'usines, 11€, super Tipi Trek matériel d'activité outdoor, (en plus c'est ecrit en français, ça promet...) je commence à faire mes prières les plus ferventes. "On va se serrer". La nuit ne commence pas si mal que ça. Je suis en position pharaonesque, (sisi , avec les deux bras repliés en croix) complètement figé dans le duvet, les capuches sur la tete et le visage, totalement incapable de bouger. Car bien sur il fallait garder le maximum de vetements pour ne pas avoir froid. Ce qui incluait blouson de ski, gants...

Chacun pourra décrire sa nuit, je vous donne une petit idée de la mienne : réveillé au bout d'environ 1 h par des ronflements. Je taierai le nom de leur auteur, je préciserait juste qu'il est né le même jour qu'Ingrid Bétancourt. Puis ensuite, petites sessions de sommeil de 1h jusqu'a 8h du matin, entrecoupées de réveils et de bruits de couverture de survie. (comme si on pliait du papier d'alu). Au matin, vers 8-9h, quand tout le monde se lève, le constat est la : tout le monde vit ! Victoire ! Plus que le froid ce fut surtout l'engoncement qui me géna le plus. Les autres intéressés pourront raconter leur nuit dans la suite du topic, par exemple Frédérique, équipée d'un truc de l'armée US. . .

Au levé, je vais checker le poêle. Il reste quelques braises. Suffisemment pour faire repartir le feu, et c'est chose faite ! Je crois qu'au final la chaleur de ce truc est psychologique. En effet, lorsque plusieurs d'entres nous se sont levés la nuit, pour . . . euh, pour se promener, nous avons pu constater qu'il faisait la même temprature dehors et dedans ! Nous prenons un petit déjeuner riche en plein de choses (gâteaux maisons d'Aurélie, céréales pesées au gramme près de Thierry, thé, brioche, . . . ).

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Puis vient le moment de . . . partir. De quitter cette jolie cabane, que nous regrettons déjà.
Nous sortons donc tous, en direction d'une grande montée dans la foret. Thierry et Stéphane ont parié entre eux une bière que ce chemin rejoignait le GR. Nous nous élançons, et au bout de 500m, il faut faire demi tour, ce n'est pas par là. AOUCH. On repasse devant la cabane après deja 30 min de marche. De marche oui, car si escarpés sont les chemins que nous ne pouvons nous y risquer en ski. (Sauf pour les skieurs pros olympiques que sont nos deux guides) On repart donc dans la bonne direction, toujours en portant les skis à la main. A nos trousses, un groupe de personnes en raquettes. Il faut presser le pas, il manquerait plus qu'ils nous doublent ! Après un long moment de marche difficile, de montées infranchissables, on arrive enfin au plateau de Darbounouse. Nous stoppons là pour manger et contempler le paysage. Le panorama est superbe. A ce moment là, on en est géographiquement parlant au point de non retour. Mais en terme de difficulté et de temps, on est loin d'en être à la moitié ! L'idée en quittant le plateau était de rejoindre le col de la Sarnat, juste derrière "normalement" , selon Thierry, pour gagner les pistes de ski de fond du domaine de Corrençon.

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Sur le papier ça a l'air facile. On s'élance, on peut même rechausser les skis, car le relief est plat. Au bout d'un moment, on arrive à une petit borne "Corrençon 2h" Ah oui quand même. . . (Il devait etre 14h) Stéphane part devant en éclaireur pour rejoindre son amie. Thierry pense qu'il faut se détourner et aller à gauche. On emprunte néanmoins la direction, avant de s'arréter au bout de quelques diaines de mètres : Stéphane est de retour. " Ca devrait tourner à gauche mais la ça ne le fais pas, donc c'est pas bon . . . " Nous rebroussons chemin ! (Je ne compte pas le nombre de bière qu'ils se sont pariés pour dire que c'était le bon chemin à chaque croisement) Nous repartons donc vers la gauche, sur le chemin qui monte naturellement. . . .

Au fur et a mesure de la progression, le chemin se fait de plus en plus dur : ça monte sans arret. Il faut déchausser et même à pieds, les pistes ne sont plus tracées, donc les jambes s'enfoncent dans la neige jusqu'aux genous à chaque pas, tout cela en montant. Erf, c'est dur, très dur ! "Il ne faut pas transpirer" qu'ils disaient. Entre chutes, faux espoirs, et oui car en fait vous arrivez au sommet d'une fichue cote de la mort, et la une autre 2 fois plus grande apparait. A bout de souffle pour certains, un peu fatigués pour d'autres, on arrive finalement en haut de ce maudit col. "Normalement" après ça descend.

Ca fait déjà plusieurs fois que le normalement s'avère peu fiable, nous perdons confiance en ce mot émanant de la bouche de Thierry ! Jusqu'à la Royale, qui est une liaison entre pistes de ski de fond, nous continuons à évoluer plus ou moins difficilement. Une fois arrivés à la royale, "normalement" c'est tracé, ça va aller tout seul. Malheureusement, nous apprendrons plus tard que cette liaison n'est plus tracée. Après encore quelques sections difficiles, on arrive ENFIN sur une piste de ski de fond. Le bout du domaine vraisemblablement : Corrençon 8km ! On s'arrête pour bivouaquer, il doit être vers 16h. Saucisson, fromage, un vrai régal après ce voyage éreintant. Le fromage fondu au briquet est un met très appréciable, je vous le recommande. J'avoue à Stéphane que je n'ai pas encore osé jeter sa terrine de sanglier qui date de Marseille il y a 8 mois, et qu'elle est toujours dans mon frigo. Il me donne sa bénédiction pour que je m'en débarasse, sauf si je veux perdre 13kg avec une listériose. (si quelqu'un est preneur...) Je suis soulagé d'un poids sur la conscience. Qu'en est t il du taboulé qui n'a pas changé d'aspect dans mon frigo depuis le stage à Mulhouse en octobre ? Rien que pour voir combien de temps les conservateurs font de l'effet, jevais encore le garder. (ces denrées sont bien sur dans des emballages hermétiques) Thierry dans sa grande misericorde propose d'organiser une quête au GUC pour que je puisse m'acheter à manger. Quelle compassion :D

Après une petite demi heure de ravigottage, on reprend la route, désormais sur une piste de ski de fond ! Mais la progression délicate à coups de grosses montées reprend. On passe devant un panneau Corrençon 1h. 1/2 plus tard, après une ascension qui a même contraint Thierry à déchausser, je passe devant un panneau Corrençon 50 min. "P..... mais c'est pas vrai..." Tout au long de la progression, Thierry et Stéphane nous rassurent : "Normalement" après ça decend. Pendant les quelques rares descentes, ils nous enseignent l'art du chasse neige sans carres. . . Ca marche plus ou moins bien ! On se mange tous quelques gamelles, mais ça finit par rentrer. Tout au long du chemin, des personnes nous doublent en filant comme des fusées. On se demandent bien comment ils tracent comme ça ! Nous finissons par dépasser la moitié de la piste (Corrençon 3.5 km) et là, les choses s'accélèrent. Le restant du parcours est quasiment uniquement constitué de grandes descentes ! Ahhh enfin ! Sentir le frais sur le visage alors que l'on glisse vers la fin de la piste est jouissif ! Méfiance sur les petites zones verglassées, mais globalement ça passe bien. Aurélie qui est en skis "alternatifs" parvient quand même à skater. Philippe Pr semble avoir quelques soucis de fixations qui l'obligent à déchausser lorsque la pente est trop pentue. Personellement, tenir ce drôle de chasse neige super écarté me titille des muscles non entrainés, mais le plaisir de glisser sur ces quelques kilomètres l'emporte sur le risque de crampe ! Thierry et Stéphane échangent leurs skis, pour comparer les glissabilités. . .

Puis le bout du tunnel apparait : le plateau de Corrençon, zone de départ des pistes de ski de fond, et point de départ de la veille au soir. Une fois arrivés aux voitures, on se déséquipe en pensant au chemin accompli. Il est quelquechose comme 18h30. Je retrouve avec bonheur mes après-skis comme prévu dissimulés derrière les roues avant de la voiture de Thierry par Vincent, à qui je les avais prétés la veille, car semble t il ses chausses n'étaient pas adaptées... Puis tout le monde se remet en route vers Grenoble.


De l'avis même des spécialistes, la traversée fut difficile, car nous n'avions pas forcément le matériel adapté au type de terrain rencontré. (pentes, pistes non tracées...) En tout cas cette épreuve d'immunité a été réussie ! Merci aux organisateurs, et rendez vous l'année prochaine pour le niveau de difficulté au dessus !

PS : désolé pour la concordance des temps pas toujours respéctée dans mon récit, j'espère que vous aurez néanmoins eu autant de plaisir à le lire que d'envie de participer à la prochaine sortie !


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Gildas
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par Gildas »

Belle motiv, bon CR.

Perso, j'étais quand même content de me glisser sous la couette à 00h30.

On s'est bien marré aussi sur le retour à pied dans la nuit avec Vincent qui jouait au Yeti, se cachant derrière les arbres et sortant en hurlant. ;)
No balls!!! No glory!!!
Z'êtes des fiott' et pis cé tout!
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Stéphane
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par Stéphane »

bravo pour le CR, quel courage! ce fut une belle immersion dans l'immensité sauvage du vercors, ou chacun s'est retrouvé face à lui même. Un test brillamment réussi pour une prochaine aventure. Les Philippes ont ainsi retrouvé leurs instincts de trappeurs en s'acharnant pendant une heure vendredi matin (en fractionné entre 0h30 et 10h30) à essayer de fendre à main nue une grosse buche en 2 pour qu'elle rentre dans le petit poêle. Sans succès malgré la contribution de leurs 2 cerveaux ingénieux.
Bon, il était prévu de faire un peu plus de ski que de marche à l'origine. Mais nous avons finalement choisi de passer par la magnifique plaine de Darbounouse au lieu de rejoindre directement les pistes, et elle exige des sacrifices pour se livrer. Bref, super excursion, et des courbatures le dimanche.
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vincent
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par vincent »

La longueur et la qualité de ce CR sont à la mesure de ma déception de ne pas avoir pu vous suivre ...

Faut refaire ca vite ...!

A mardi

Vincent
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auaulasirenasse
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par auaulasirenasse »

magnifique CR !

contrairement à ce que je croyais le plus dur n'a pas été la nuit dans le refuge glacé mais bien l'épreuve d'immunité du lendemain ! :D

en tout cas je suis partante pour refaire du ski de fond (mais sans sac sur le dos ! )
l'apnée, what else ?
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Stéphane
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par Stéphane »

La prochaine promis, on part très léger à la journée, et sur les pistes tracés. C'est bien pour une découverte du ski de fond! On peut se trouver 1 journée après la mi-février. Il y a un refuge gardé pas chère et très sympa à Presles. C'est un autre coin mais magnifique aussi. C'est tout confort, chauffé, accès en voiture, cuisine (on fait sa bouffe), avec des vrais matelas pour dormir. On peut y arriver le vendredi soir ou le samedi soir et skier le lendemain en laissant les sacs dans les voitures, juste emporter quelques fraises séchées, saucisson aux noisettes et bière pour le casse-croute. Si vous voulez je me renseigne.
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Dine
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Re: 2009_01_30 Rando - Auberge du clariant - Cabane de Carette

Message par Dine »

Super CR Phil !! ;)
Mais comme Gildas j'étais contente de me glisser sous la couette..et finalement aussi contente de ne pas vous avoir suivit pour le reste, ça avait l'air un peu galère votre truc!! :roll: ;)
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